Bienvenue à Jean Lavie

Par Frédéric Candian, auteur de plusieurs romans, dont Deux âmes dans l’antre des fous (Publibook, 2002) et La communauté de Thésée (Edilivre, 2009), ainsi que du recueil de nouvelles Le langage des oiseaux (Edilivre, 2015). Son site web : www.fredcandian.fr

Le chant des Aquadèmes, signé Jean Lavie, n’est pas un roman historique. Est-il davantage un roman fantastique? Toujours est-il que ce récit médiéval recèle un indéniable aspect légendaire qui plaira aux amateurs de contes populaires baignés de magie.

Les ponts sont-ils ce qu’ils semblent être? Selon la croyance populaire, ils ont de tout temps été des lieux de mystère. Points de passage d’un monde à un autre, ils survolent le temps. « L’eau a coulé sous les ponts », dit-on souvent. La vie passe, le pont reste. Imperturbable, le pont ne sort de son sommeil que pour considérer d’un œil distrait celui qui l’emprunte pour suivre sa route. D’ailleurs, souvent, un gardien du seuil demande à l’étranger qui s’engage sur le pont de s’acquitter d’un péage ou de se soumettre à une épreuve.

Lien entre deux monde, comme un livre, en somme qui relie un auteur à un lecteur. Vous aussi, donc, laissez-vous porter par le courant et tournez les pages du chant des Aquadèmes pour vous relier à Jean Lavie.

Se relier à Lavie. On ne vous l’avait jamais faite, celle-là? C’est chose faite. Il fallait oser, L’ami des auteurs l’a fait.

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