Interview : Adrien Marquez-Velasco

politique-economie-adrien-marquez-velasco-lharmattanComment êtes-vous arrivé à l’écriture ?

L’écriture m’est venue très naturellement à l’âge de 16 ans en cours de philosophie. À l’époque l’envie de remettre en question le paradigme existant me plaisait déjà beaucoup. J’avais une relation vraiment privilégiée avec ma prof même si je n’ai jamais eu de régime de faveur. Elle m’a juste corrigé les premiers articles que j’avais rédigés et c’était déjà beaucoup pour moi !

À qui s’adressent vos livres ?

Mon rêve est de pouvoir adresser mes livres à n’importe qui. J’ai envie que tout le monde souhaite participer aux débats philosophiques et politiques qui me paraissent essentiels à notre époque toute particulièrement bouleversée et bouleversante.

Quel est le sujet de votre dernier livre ?

Alors ce sera plutôt quel est le sujet de mes derniers articles sur mon blog ? Ahah. Je parle beaucoup de liberté, du progressisme, du conservatisme, de l’individualisme, du collectivisme, des  riches,  des  moins  riches, de l’amour, des relations, de Dieu, des religions, de la politique et de l’économie. Ce sont les principaux sujets de discussion de LEC : Liberté-Evolution-Conservation.

Cherchez-vous à transmettre un message dans votre livre ou vos livres, et si oui, lequel ?

LEC : Liberté-Evolution-Conservation a pour idée de parler de HAUTE STRATÉGIE et de HAUTE DIPLOMATIE. Diplomatie et stratégie, car nous pensons que la paix et le bonheur pour tous passeront par la réconciliation entre les 2 classes les plus opposées sur Terre, les riches et les moins riches. Bien sûr, les concepts de riches et moins riches sont vagues, mais j’ai pour habitude de parler de riches pour parler des gens qui ont un certain pouvoir, une certaine influence et une certaine somme d’argent bien au-delà de la moyenne.

Quelles sont vos influences ou vos sources d’inspiration ?

Matrix des Wachowski. Le manichéisme. La lutte des classes. Les tendances politiques actuelles. Les religions. L’amour au XXIe siècle. Les libertaires.

Avez-vous un conseil pour les auteurs débutants ?

Soyez différents. Pensez différemment de tous ces intellectuels aujourd’hui. Pour moi le but de l’écrivain est de faire évoluer les mentalités au minimum, de changer le monde au mieux. L’écriture n’est pas anodine. L’écriture se doit d’être utile et apporter quelque chose à l’humanité. Encore faut-il que les éditeurs éditent de bons livres… En réalité les éditeurs tombent à côté d’auteurs très singuliers et avec une pensée unique beaucoup plus qu’on ne le pense.

Avez-vous de nouveaux projets d’écriture ?

Continuer les articles de mon blog est pour l’instant mon seul objectif, mais je garde en tête de publier les meilleurs articles dans un seul livre d’ici la fin de l’année 2017 ! J’espère que les internautes pourront me soutenir dans ce beau projet. Un livre d’ailleurs dans lequel les meilleurs retours des lecteurs seront publiés avec leur accord ! J’ai aussi une idée de roman qui me tient à cœur. Un roman qui s’intitulerait : “ N’oubliez jamais : sauver le monde est encore possible. “ Une histoire qui raconterait l’ascension politique fulgurante d’un très jeune écrivain où se mêleront grandes querelles politiciennes, juridiques et sentimentales ! Une grande histoire à écrire en perspective !

Un dernier mot ?

Je pense que l’écriture n’est pas du tout un acte anodin. Surtout l’essai ou l’article philosophique et politique. Un peu comme chez le comédien, l’acteur, l’auteur se livre à un véritable art intime où il se livre à nu. Beaucoup de lecteurs paraissent très décontenancés, c’est le moins qu’on puisse dire, et le font savoir avec parfois des commentaires très virulents. Mais il faut vraiment avoir à l’esprit que la critique est facile, l’art est difficile. Et je dirai même que l’art est d’autant plus difficile qu’il est singulier, non conforme, unique et avant-gardiste. Moi par exemple, je me veux d’être le plus singulier possible et en totale contradiction tant sur le fond que sur la forme avec les grands écrivains de renommée. D’abord parce que je trouve leur écriture trop élitiste et puis parce que je pense qu’ils se plantent tous complètement. Ils sont dans leur monde et ne réalisent pas à quel point ils peuvent se fourvoyer. Pour l’instant ce sont eux qui sont tout en haut et moi qui suis tout en bas. Mais je souhaite mon écriture populaire et plaisante. Je souhaite engager les lecteurs et trouver avec eux les meilleures solutions de Haute Stratégie et de Haute Diplomatie. Je sais aussi très bien que beaucoup d’intellectuels n’ont pas réussi et là où ils ont échoué, nous souhaitons réussir grâce à l’aide de tous nos lecteurs sans lesquels nous ne serions rien. Mais plus que l’acte d’écriture, nous souhaitons initier avec l’ensemble des citoyens un mouvement et des actions politiques pour révolutionner le paradigme individualiste dont sont victimes les sociétés d’aujourd’hui. N’oubliez jamais : sauver le monde est encore possible. Et c’est maintenant. Adrien Jean Marquez-Velasco et LEC

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