interview de Vincent Blénet par Sandrine Turquier, poétesse 2/3

Sandrine Turquier : « Mort sûre d’amour » est une œuvre libidinale où la force créatrice semble atteindre son apogée. La fantasmagorie et la sensualité s’épousent, invitant dans leur danse la beauté d’une écriture docte et douloureuse qui s’appuie sur le désamour des femmes à votre égard malgré votre sensibilité et romantisme noir qui dévoile la belle âme qui vous habite.

Si vous aviez un message à transmettre à l’intention des femmes et de vos futures lectrices quel serait ce message ?

Vincent Blénet :

J’ai l’obsession de ces femmes aux milles charmes pour moins penser à mes flammes aux milles drames.

Pour moi, l’érotisme, la sensualité, la sexualité dans les bras des femmes, je ne partage pas forcément la vision scabreuse hardcore des ébats de nuits féminines.

Ce que je ressens dans l’amour sensuel, c’est ma spiritualité, la mienne, celle qui me fait ressentir que je suis vivant, je suis « humain », un p’tit peu.

Lorsque j’essaie de m’abandonner dans les douceurs de femmes, je recherche du plaisir oui, mais j’aime cette sensation de douces caresses et de frôlages de lèvres, la danse de nos deux langues juste elle et moi.

Toucher l’intimité d’une fille, partager sa sensualité, être en symbiose des corps elle et moi, et nos lèvres qui se frôlent sous quelques caresses c’est comme si je rencontrais Dieu. Comme si tout ce chaos qui m’est à vif s’était arrêté le temps de cet instant avec elle.

C’est comme si j’avais été pardonné par le Ciel et que je ressentais cet amour incommensurable de la vie à l’état pur.

L’écriture est tout mon être, mon oxygène vital, et la sensualité conjuguée d’érotisme avec ces demoiselles c’est la sensation de vivre en tant qu’humain, c’est ce pardon de là-haut que j’espère un jour.

Après je n’ai jamais vécu d’orgasme, ni de plaisir, parce que je n’ai traversé que des expériences d’escort-girls et je n’ai jamais trouvé chaussure à mon pied.

Si je poursuis cette prison de l’escorting, c’est parce que c’est la seule option que j’ai pour toucher la peau d’une femme, de parvenir à embrasser délicatement les lèvres et le corps d’une femme. C’est une souffrance atroce que j’endure. Lorsque je vois ces belles jeunes femmes, dont beaucoup me plaisent davantage que la plupart des escortes que je rencontre. Je reconnais qu’à vue externe j’ai l’air d’un zombie en manque, d’un chien affamé. Et pourtant je m’oblige à tracer ma route loin en m’insultant parce que je suis indigne d’elles.

C’est vrai que je pars perdant d’avance, je n’engage aucun dialogue, je n’essaie plus aucune tentative. Je projette l’échec d’avance et je me conditionne en perdant, qui n’a droit à rien d’elles.

En ce qui concerne l’amour, si je rejette toute idée de fidélité, de romantisme et de relations amoureuses, c’est parce que ça me renvoie à ce que j’étais dans le passé. Lorsque je préférais me détruire et me cloisonner dans la dépression en restant prisonnier de la même fille durant plusieurs années sans avancer ni évoluer.

Être « volage » et « libertin » c’est une manière de me préserver de ma pulsion autodestructrice, ivresse suicidaire.

J’ai besoin d’émotions mais je me dois d’être davantage « bienveillant » vis-à-vis de ma vie et de mon bien-être psychologique. Afin d’éviter de sombrer dans la folie.

Par contre lors de mes errances chez les gens, la sociabilisassion, j’ai tellement reçu de gifles, toutes plus violentes les unes que les autres ! A tellement me répéter que « les gros ça ne baise pas », que « si elles me touchent, c’est comme un film d’horreur ». Ça m’a paralysé, je suis trop figé et bloqué dans toute initiative. Alors au lieu de m’aventurer, je me lacère psychologiquement et je me punis. Mais j’ai aussi bien appris le dogme des Montpelliérains.

Je passe pour un obsédé, un mateur en manque. Mais au fond de moi, à l’intérieur de mes prières charnelles, je rêve de traverser l’amour d’une nuit, sentiments, complicités comprises avec ces demoiselles qui me font vaciller dans mes tristes journées.

Ce qui se trame actuellement est gravissime, on est en train de forger de plus en plus un fossé entre les hommes et les femmes.

Les mouvements féministes qui accusent tous les hommes sans exception, créent une violente guerre des sexes. Au lieu de rendre justice à toutes les vraies victimes de violences multiples, elles ne font que jouer le jeu des PDG machistes qui utilisent MeToo afin de boursouffler l’offre et la demande.

Plus vous stigmatisez un amour entre un homme gentil, qui rêve de faire l’amour avec celle qu’il aime depuis le premier jour, mais a trop peur de lui dire « je t’aime » à cause des folles ultras qui ont un orgasme dès qu’elles tabassent un mec. Plus le garçon fragile va être d’accord de payer fort pour parvenir à coucher et aimer la fille de ses rêves.

Le désespoir pousse à la consommation.

Les féministes d’aujourd’hui n’ont rien compris, beaucoup de jeunes femmes se servent de leur beauté comme un passe-droit. Elles croient qu’à travers leur fraicheur, leurs charmes renversants, déstabilisants, qui troublent nos faits et gestes de pauvres bougres, elles meuvent tout Mais à leur insu elles sont utilisées par le système pour faire cracher les billets, certaines en sont conscientes et choisissent d’en être les prêtresses, sadiques et perverses. Elles finissent par devenir les complices de ceux qui ont martyrisé leurs sœurs. Le serpent se mord la queue, en boucle et en rond.

Les jeunes femmes actuelles croient qu’elles décident, qu’elles ont le « contrôle » mais c’est faux. En fait elles l’ignorent, mais elles sont les pions stratégiques d’un échiquier lucratif de commerces et d’argent. Elles s’exhibent sur les réseaux, elles jouent avec les limites et elles ne font que se soumettre à s’enliser comme des affiches publicitaires humaines pour faire cracher les billets par un potentiel de clientèles masculines tous frustrés et empoisonnés par la dépression de leur vie.

Je trouve qu’il rôde un parfum empoisonné de vénalité et de « chasse aux sorcières » dans l’attitude des codes et comportements de séductions, notamment du point de vue des femmes, surtout de leur part à elles. Dans leurs yeux, je ressens (j’interprète vite parfois, certes, mais c’est quand même assez déstabilisant), je vois la façon narquoise, la désinvolture arrogante, l’agressivité de la façon dont elles me jugent et m’infériorisent sèchement rien qu’avec un coin d’œil glacé sur mon cadavre. Limite une inquisition 2.0 où je suis déjà condamné à brûler sur le bûcher.

Elles ont des exigences de plus en plus « swastika fashionista ». Elles ont l’incapacité de nous regarder avec le cœur, nous misérables gueux, nous pauvres Jacquouilles sans ressource MasterCard.

Elles pensent qu’elles ont les clés mais elles sont manipulées par les PDG, les publicitaires, les politiques, etc.etc…

Par exemple, les jouvencelles qui se prennent en selfies maladivement sur les réseaux et qui ne vivent qu’à travers leur téléphone portable dernier cri. Est-ce qu’honnêtement elles sont libres ?… Non, je regrette mais non.

Ces jeunes femmes sont prisonnières de leur beauté et de leurs virtualités. Elles ne sont qu’une affiche pub pour commercialiser des sacs à mains de luxe ou des chaussures de dévergondées. Oui elles sont très bien, trop bien même, payées.

Cependant ces jeunes femmes deviennent le miroir du miroir du miroir. Elles ne sont plus qu’un reflet marketing dans un monde de business et dans un fanatisme de ventes sans âme.

J’ai trop souvent tendance à dévoiler mon aspect enragé envers les jeunes femmes qui, pour beaucoup d’entre elles, sont des filles qui m’attirent beaucoup.

Comme je me projette d’avance dans l’échec, perdant d’avance, j’anticipe qu’elles vont me dire des horreurs. Je vois que le regard qu’elles ont sur moi est assez hostile et froid. Même si je fais beaucoup de psychoses paranoïaques et que j’interprète trop rapidement la réponse à la question, j’ai néanmoins reçu dans la réalité beaucoup de mots cruels, vicieux et destructeurs, voire inacceptables et déshumanisants du vocabulaire des jeunes femmes Montpelliéraines.

J’en veux à pas mal d’elles parce qu’elles nous reprochent ce qu’elles devraient reprocher aux connards machos et tapeurs de poses qui les traitent comme des Tampax souillés. Alors qu’il y a des garçons qui sont gentils et qui ont envie d’être bienveillants nounours avec les filles.

J’en veux à beaucoup d’entre elles parce qu’elles nous mentent et nous manipulent vicieusement, elles vont beaucoup michetonner dans les bars de luxe. Et elles sont incapables de révéler authentiquement leur cœur.

Je reconnais, j’avoue même, que le désir sensuel, sexuel, ce besoin me possède comme une ivresse addictive. Ce désir que je ressens et que mon être réclame comme la prière de la dernière chance est un bien-être psychique vital, nécessaire à mon âme et mon cœur.

La privation, la férocité de la frustration, tout en regardant les normaux batifoler avec onirisme dans l’extase des plaisirs légers avec les femmes. Ça me renvoie à ma souffrance, à mes morts successives, à cette exécution de l’enfance dans la cellule de l’hôpital psychiatrique. Ça me renvoie à ce talion qui clame que je suis un monstre, une chose immonde, ignoble et repoussante. Ça me renvoie à ce blocage psychosomatique où j’affirme tête brûlée, à faire pâlir une rangée de détecteurs de mensonges, que je suis une énorme erreur de Dieu, l’ignoble blasphème, l’hérésie dépressive, arme de destruction massive. Ça me place dans l’idée que les femmes et les jeunes femmes ne doivent pas me considérer et me chasser de toute humanité.

Je comprends tout à fait qu’elles soient en quête d’un prétendant sublime et frôlant la perfection.

Mais me détruire et me lacérer l’âme ça ne rime à rien sauf à éponger leur cruauté narcissique et leurs sentiments de toute-puissance vénale à l’impunité totale made in Schiappa.

Chères femmes et jeunes femmes, jouvencelles de l’excellence, n’ayez crainte de mon regard pour vous. C’est vrai que je déborde d’affection et de désirs, enivrants supplices qui lacèrent mes pensées et mes prières.

Je peux comprendre que mon trop-plein d’émotions vous fasse peur. Je conçois que ma fragilité et ma colère vous font prendre des distances avec moi maintenant. Je reconnais que j’ai l’approche maladroite et la posture d’un homme qui est en chien, que mon regard qui vous fixe dans la rue vous semble inquiétant.

Cependant vous faites erreur sur mon compte. Mon âme ainsi que mon cœur vous pleure, chaque fois que j’ai la vision de votre élégance et votre beauté charnelle, je ne vous regarde pas comme des Tampax ou des proies, ni même comme des trophées d’égo misogyne et narcissiques à « passion virilisé ».

Non absolument pas.

Lorsque je vous aperçois et que, pour beaucoup d’entre elles, je suis subjugué par la magnificence de votre sex-appeal si troublant, si déstabilisant, au point que mes pas citadins vacillent et trébuchent sur le pavé du centre-ville.

Sachez bien que moi, au fond de mon être et de mes sentiments, je vous contemple comme les merveilleuses déesses, des princesses inaccessibles. Des femmes qui hantent mes songes et troublent mes rêves érotiques, sensualités amoureuses.

Au fond je ne suis pas cette tarentule terrifiante mais je suis ce triste nounours gothique qui ne rêve que de faire des tendres câlins avec celles qui habitent mes fantasmes.

Ces jolies filles normales et citadines qui ont le pouvoir salutaire de m’extirper hors de mon enfer carcéral dégueulasse rien qu’à travers un regard humain et chaleureux en posant vos yeux féminins sur moi et me voir comme un humain.

La véritable meurtrissure ainsi que la véritable personne qui est blessée dans nos croisements de route, dans nos échanges de regards, c’est moi-même. Je pleure beaucoup plus que je ne mords.

Lorsque vous laissez apparaître la cruauté viscérale dans vos yeux vers moi, c’est moi qui me fais violer, empoisonné par l’existence. Une vie de souffrances et de chagrins qui me définissent comme une abomination de la nature humaine.

Sandrine Turquier : Le chapitre « être sans être » de « Mort sûre d’amours » s’ouvre par une citation d’Honoré de Balzac « L’espoir est une mémoire qui désire, le souvenir est une mémoire qui a joui. » tiré de son ouvrage « Les fantaisies de Claudine ».

L’espoir n’est-il pas le sentiment indéfectible qui permet d’exister ?

Vincent Blénet :

Je pense que si j’écris bien l’aspect dépressif et chaotique dans mes livres c’est avant tout parce que je le subis dans les détails. Je reconnais que ma zone de confort littéraire se retranscrit mieux dans cette épreuve mélancolique de mon existence. Je serais presque incapable d’écrire une histoire plus soft et agréable à lire. Mes textes se basent sur mon émotionnel, ma réflexion, mon incompréhension du monde extérieur, mes pensées tourmentées, mes larmes romantiques et sensuelles frustrées.

Depuis longtemps (22 janvier 1999) je ne me sens plus humain. Je me sens loin de la vie, une vie fatiguée faite de joies dont je suis privé et interdit de ressentir. J’essaie de tenir le coup et de survivre tant bien que mal, mais je n’ai qu’une saveur fade et morte dans mon cœur.

J’observe la vie et je regarde ces normaux évoluer dans la farandole de la démence et de la violence. La disgrâce est une apogée de la modernisation. Ils ne sont pas conscients de la magnificence qui est à leur portée, ça me rend hargneux, hystérique de blasphèmes. Lorsque vous traversez l’envers du miroir et que vous êtes de l’autre côté de la barrière, c’est là que vous découvrirez toutes ces merveilleuses choses que Dieu vous a offertes et que vous avez traitées avec mépris et désinvolture arrogante. Croyez-moi, ces petites joies et ces moments de grâce furent pour vous banalement acquises de droit. Croyez-moi sur parole, dès que vous franchirez la frontière vers notre rivage, c’est à ce moment-là que vous pourrez fondre en larmes amères.

Lorsque j’étais un enfant rêveur, la vie a brisé, broyé, tous mes vœux et mes prières. Mes rêves furent démantelés un par un, chacun dans une orgie de souffrances qui forgeront mon âme dans un cynisme virulent.

Plus je traverse le temps, au fur et à mesure des années interminables et répétées, plus je deviens insensible, immuable à l’optimisme et l’espoir. Les rêves me font l’effet d’un poison vicieux et pervers. Les chimères sont assassines.

J’ai la sensation d’être un être sans être. Une âme décédée, laquelle se défenestre en boucle sans une issue optimiste. Il en est de même lorsque je suis en devoir de sustenter aux besoins organiques de mon cadavre carcéral humain, lequel n’a jamais le droit de recevoir quelques caresses passionnées de jolies jeunes femmes.

Je m’isole avec mon téléphone et je traque la moindre sensualité féminine et le moindre érotisme dans la gratuité de vidéos XXX hardcore.

(Les tutos d’Angela White pour notice Ikea, avec Manuel Ferrara l’échelle Darwinienne rembobinée en marteau piqueur. Trois minutes de douceurs préliminaires et 55 minutes de chantier bulldozer en mode jeu vidéo Tetris.)

Au final je gicle sans avoir de jouissance, je cherche un plaisir sans avoir de plaisirs. Tout est fade et sans vie. Je survis dans une existence de défunt.

D’ailleurs, aujourd’hui c’est la réouverture de leurs bars adorés, j’ai vu tous ces normaux, tous ces humains être gorgés de vie et de joie. Je suis certain que beaucoup vont faire l’amour avec les femmes. Pour ma part je me sens un peu plus écrasé par le mazoutage de dépression neurodégénérative, neurasthénique, implanté en masse par les excès de zèle du gouvernement.

J’étais déjà affecté, secoué par la dépression mais j’ai eu un nouveau diplôme en la matière.

Je me laisse couler, tout en luttant contre moi-même afin de ne jamais me suicider.

À part mon écriture et ma maman, qui sont les deux seules raisons qui me font rester. Mais aussi parce que je suis un lâche, je n’arriverai pas à avoir les balloches de me finir parce que je suis un lâche, je suis une merde minable.

J’ai toujours absorbé la violence des autres sur moi-même. J’ai avalé toutes les souffrances damnées que les normaux ont craché dans ma bouche, souillant à vif mon cœur et mon esprit. Jamais je n’ai su me défendre j’ai toujours tout encaissé sans répliquer. Voilà pourquoi je suis emmuré dans la haine et la vengeance. Je suis incapable de faire ce que Jésus-Christ a enseigné à savoir « priez pour ceux-là qui vous persécutent, aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maltraitent ». Je n’y arrive pas ! J’ai si mal de vivre avec eux et j’ai mal de vivre tout court.

Lorsque je suis en face-à-face avec les gens qui batifolent et qui me bousille, j’ai une montée de rage et de désir de vengeance, vengeance pour ma vie qui a été détruite par EUX-MÊMES HUMAINS.

La plupart de gens ne me croient pas quand je leurs raconte ce qui m’arrive et ce qui m’est arrivé. Lorsque je dis que je suis dépressif, pareil, ils pensent que j’exagère, soi-disant qu’une personne malheureuse n’a pas autant d’appétit etc.

Pourtant lorsque vous traversez les abîmes, que vous caressez plusieurs fois le visage des abysses, à une extrémité telle que lorsque vous trouvez un « plaisir », limite malsain mais orgasmique, quand vous tailladez vos bras, que la scarification devient une mini boucherie dans l’évier de votre cuisine et que vous « jouissez » en tranchant votre chair et qu’il y a des minuscules fragments de corps qui tombent dans l’évier.

Idem lorsque vous déambulez dans les rues la nuit très tard, dans l’objectif de vous frotter aux excès, à la violence, la frontière fine et pas linéaire de votre propre vie. Traquer l’excès, traquer le suicide sans accepter de vous allonger avec.

D’une certaine manière ces émotions chaotiques et malfaisantes sont une forme de Graal, de distraction et d’exutoire, faute de ressentir la douce sensualité des jouvencelles, ainsi que les émotions positives réservées à celui qui y mettra le prix fort sur la prestation facturée. En effet se faire du bien ça coûte bonbon, alors que se foutre en l’air ça revient moins cher, donc accessible.

Et lorsque cela dure depuis beaucoup trop d’années à répétition, que cela finisse par façonner votre conscience dans une boucle quasi intemporelle, prisonnière d’une éternité sans issue, où la neurasthénie est au final journalière, familière, habituelle comme la cigarette que vous consumez depuis votre tendre adolescence.

A force, votre cynisme, pessimisme, abracadabra…

L’espoir est un moteur, mais il est désormais plus qu’à double tranchant. L’illusion et les chimères ont gangrénées nos espérances.

Il est essentiel d’avoir de l’espoir, « l’espoir fait vivre » c’est bien connu, et c’est avéré que l’espérance nous aide à mieux progresser.

à suivre…

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.